Statuts, suite

Dans mon précédent article du 17 Mars, j’écrivais « J’ai écrit hier à notre Présidente pour lui demander de pouvoir participer au groupe de travail sur les statuts. A suivre, donc« .

Je vous dois donc la suite: La participation à ce groupe de travail a m’a été refusée. Voila !

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Mise à jour:

Bien entendu, Onlineradio répercute l’info. Je dois d’abord préciser que le REFU n’a pas mis « près d’un mois » à me répondre, c’est simplement moi qui ait tardé à renvoyer l’info ici.

Un commentateur déduit que j’ai immédiatement démissionné du REFU devant un tel affront… C’est bien entendu une couillonnade, mais cela mérite quelques développements:

– Je me bats pour le respect de la démocratie interne. Il serait donc paradoxal que je m’enfuie honteusement dès le premier pet de travers. J’ai été élu, et le respect de la démocratie interne, c’est justement de remplir mon mandat ! Par ailleurs, le REFU a une Présidente. Je lui ai exposé ma demande de participer à la commission « statuts », elle m’a répondu par la négative. Dommage, participer à ces travaux m’aurait intéressé, et -qui sait- j’aurais peut être pû faire profiter le REFU de mes compétences de juriste. Ceci dit, si il y a une Présidente au REFU, c’est pour qu’elle prenne des décisions. Elle l’a prise.

Et maintenant ? La commission statuts fera son travail, puis la démocratie interne aussi. Si les propositions de statuts me paraissent mauvaises (et pour moi, le critère sera simple: La réforme sera bonne si l’on décide de revenir à un schéma associatif simple -une seule association dont les radioamateurs sont membres- et elle sera mauvaise si l’on continue à errer sur la voie de la fédération d’ED -quels que soient les trompe l’œil démocratiques que l’on pourra ajouter-) je voterai contre. On me demandera mon avis en AG, hé bien je voterai NON ! C’est aussi simple que cela, la démocratie interne.

– C’est mal me connaître que de penser que parce que l’on m’a dit « non » sur les statuts, je vais gentiment retourner faire du DX et arrêter de chatouiller là où ça gratouille. Je n’en dit pas plus !