A propos

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Merci de votre visite et de votre curiosité. Je m’appelle Laurent Ferracci, je suis né en 1974. Je suis marié avec Anne et j’ai deux filles, Aude (2003) et Cécile (2004).

Comme beaucoup de radioamateurs, je ne saurais pas précisément dater mon intérêt pour la radio. J’ai habité jusqu’à 15 ans en Corse où j’avais commencé à faire de la CB. En arrivant à Montpellier, j’ai continué, notamment en m’essayant aux contacts à longue distance sur la bande 11M. J’ai aussi trouvé à Montpellier une bande de « copains de radio » qui le sont encore aujourd’hui pour plusieurs.

En 1993, alors que j’étais en classe de première scientifique, j’ai réalisé que le programme de physique coïncidait parfaitement avec le programme de la partie technique de la licence radioamateur. Et hop, après une préparation réalisé seul, je suis donc allé passer l’examen à Marseille et j’en suis revenu radioamateur.

Je n’avais pas poussé jusqu’à apprendre le morse et j’étais donc limité par la règlementation de l’époque aux émissions au-dessus de 30MHz.

A l’époque, je me suis lancé à fond dans le packet-radio. J’ai mis en place des systèmes localement, j’ai participé à la coordination du réseau, et même tenu une rubrique régulière dans la revue « Mégahertz ». Ce fut, pour moi comme pour beaucoup, une expérience très enrichissante.

J’ai également orienté mes efforts vers le trafic radioamateur par satellite, et fait ainsi, sur Oscar-10 ou Oscar-13, mes premiers QSO longue distance avec des radioamateurs américains ou japonais.

En toute logique, j’ai ensuite essayé de marier mes deux activités radio, et fait un peu de « packet par satellite ». Echanger un message électronique avec un américain en quelques heures, c’était révolutionnaire à l’époque.

Vinrent ensuite les BBS, fidonet et Compuserve, puis l’internet, découvert vers 1995 (avant le web !), qui m’a un peu éloigné de la radio. Et par la suite, un déménagement m’a contraint au démontage total de ma station.

En 2004, jeune marié avec Anne, nous avons quitté le centre-ville de Montpellier dans lequel nous habitions pour nous installer « à la campagne ». Ceci signifiait donc la possibilité de « mettre des antennes »… ce que j’ai fait rapidement, le virus de la radio ne m’ayant pas lâché malgré quelques années de silence (un conseil en passant: Ne vendez jamais tout ! Gardez un transceiver ! Lorsque l’envie vous reprendra un peu, vous pourrez facilement le ressortir tandis que si vous n’avez plus rien et qu’il faut commencer par un gros chèque, c’est beaucoup moins évident !)(surtout quand vous êtes jeune marié!!)

La règlementation ayant évolué en 2004, j’ai eu accès aux bandes décamétriques. Ma station a évolué dans cette direction. Dans sa version la plus stable, elle était constituée de:

  • Un transceiver Elecraft K3
  • Un ampli Kenwood TL-922
  • Une antenne KLM KT-34 pour les bandes 14, 21 et 28 MHz sur un pylône de 14M avec chariot latéral
  • Une antenne verticale Butternut HF2V pour les bandes 3,5 et 7 MHz, installée au sol avec une trentaine de radians
  • Plein de choses qui vont avec…
Mon antenne sur son pylone

J’ai chassé le DX pendant quelques années, obtenu des diplômes comme le 5BDXCC, WAZ, WAS ou USA-CA.

J’ai parfois participé à des contests, en SSB ou en RTTY.

Hélas les bonnes choses ne durent qu’un temps, et après une dizaine d’années à la campagne, mon travail nous a conduit à nous réinstaller en ville.

Cela a signifié un ralentissement considérable de l’activité radio, pour ne pas dire un arrêt.

Je continue cependant d’une part à participer aux activités du REF dont je suis un des administrateurs, et d’autre part à trafiquer de temps en temps, notamment en portable.

Ce blog est le reflet de ma « radio-activité », en toute logique la parution d’articles s’est elle aussi tarie. Je le garde en ligne cependant, parce que j’ai horreur des liens cassés.

73’s de Laurent, F1JKJ

NB: Tous les articles publiés sur ce blog sont disponibles sous licence CC BY-NC-SA.