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Retour sur les codes 2D et les QSL

Dans un article du 25 novembre 2011, j’avais lancé l’idée d’utiliser des QR-codes sur nos QSL.

Un échange de mail aujourd’hui me porte à croire que l’idée n’est pas idiote, et surtout qu’il n’y a rien à perdre à la mettre en pratique.

Je pars du constat que les OMs potientiels utilisateurs ont déjà leurs habitudes en terme de logiciel de log, y compris pour l’impression des QSL ou étiquettes. Il faut donc garder cela. Les codes seraient imprimés à côté des étiquettes actuelles, en gardant les tableaux « lisibles par des humains » à côté.

Le travail à réaliser serait donc de « normaliser » afin de produire un genre de standard, comme l’ADIF, tant sur le code lui-même (il n’y a pas que le QR-code, les datamatrix sont peut-être plus appropriés) que sur son contenu, qui serait basé sur l’ADIF.

Il n’y a pas de raison de limiter le contenu autre que la capacité du code. Autrement dit, le contenu pourrait être variable:

Au minimum, le contenu serait seulement l’indicatif de l’expéditeur. Cela permettrait, par exemple, d’imprimer le code « en dur » sur les QSL, pour ceux qui les remplissent à la main.

Ensuite, compte tenu de la capacité, on peut ajouter pas mal de choses, à commencer par le destinataire, jusqu’aux infos sur les QSO.

Bien sur, les bureaux pourraient l’utiliser pour le tri, le comptage.

Les QSL managers pourraient s’en servir pour accélérer leur traitement: Je scanne la carte reçue, l’appli vérifie le QSO, si c’est bon, imprime une étiquette réponse, hop, à la suivante.

Les OMs pourraient faire la même chose (avec des applis smartphone) pour mettre à jour leurs logs.

Les éditeurs de diplômes pourraient utiliser les données de QSO pour en donner crédit.

Ensuite, plein d’autres utilisations pourraient voir le jour, comme à chaque fois qu’une passerelle analogique-numérique apparaît.

Voila… Le travail consiste à déterminer une norme pour les codes puis à convaincre pour qu’elle soit utilisée par UN auteur de soft, ou autre (des imprimeurs de QSL, GlobalQSL…). Les autres suivront… Cela n’engendre pas de surcoût.. Une fois que les codes seront répandus, les bureaux s’équiperont etc etc

S’il y a des intéressés, on pourrait monter un groupe de discussion pour travailler là-dessus.

ACTA MENACE LES LIBERTÉS INDIVIDUELLES ET L’ACCÈS AU SAVOIR

Cet accord commercial anti-contrefaçon, négocié en secret, pourrait :

  • transformer les opérateurs d’Internet en police privée du copyright;
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Stoppons ACTA!