Mon workflow RSS

Encore un article qui ne parle pas directement de radio, mais que voulez-vous, à défaut de pouvoir faire de la radio, je ne vais pas en plus prétendre en parler utilement.
Bref, je voulais reparler de flux RSS avec vous. Mon dernier article sur ce sujet remonte quand même à près de 8 ans en arrière (!) (et F8BXI vous en a parlé lui aussi)

Si vous ne savez toujours pas ce qu’est un flux RSS, donc, honte à vous, vous pouvez arrêter de lire cet article.

Depuis mon article de 2008, l’outil principal que j’utilisais pour lire mes flux, Google Reader, a disparu. Et quand bien même serait-il toujours en service, comme j’ai arrêté totalement d’utiliser les services Google (c’est un autre sujet), je ne l’utiliserais plus.

Aujourd’hui en 2016, je lis principalement les articles des blogs qui m’intéressent sur mon iPad. Les outils que j’utilise et que je voulais partager avec vous sont donc des application iOS.

Il s’agit de:

  • Feed Wrangler. C’est l’agrégateur, le centralisateur de mes flux. Je n’utilise feedwrangler que comme un service, c’est ce service qui regroupe mes abonnements, vérifie la présence de nouveaux contenus et les fournit à mes applications de lecture. De cette façon, si je lis un article depuis mon iPhone, il sera considéré comme lu lorsque je serai devant mon iPad. Je pense parfois à le remplacer par un truc auto-hébergé sur mon NAS comme Fever ou TinytinyRSS. Ca éviterait de payer feedwrangler, et ça serait mieux pour ma vie privée. Mais jusqu’ici, je suis resté chez Feedwrangler.
  • Feed Hawk. C’est l’attrapeur de flux RSS: Je suis en train de lire un site, dans Safari par exemple. Je « partage » vers Feedhawk, et l’appli va me donner la liste des flux disponibles pour ce site (généralement, les articles et les commentaires). Je sélectionne ce que je veux suivre, et hop, Feedhawk va passer ça à Feedwrangler pour m’y abonner.OK c’est un peu superflu, j’avoue que l’ont peut très bien faire sans et s’abonner « à la main ». Mais c’est un petit confort appréciable, et ce d’autant plus que pas mal de sites « cachent » leurs flux (les grosses icones RSS oranges sont passées de mode).
    FeedHawk en action
    FeedHawk en action

     

  • Fiery Feeds. C’est mon lecteur, l’application qui accompagne mes petits-déjeuners. Chaque matin, j’y trouve quelques dizaines de nouveaux articles dont je survole les extraits et les images. Au fur et à mesure que je les survole, l’appli les marque comme lus. Si je clique sur article, je peux le lire en totalité. Avant celle-ci, j’utilisais l’application Reeder. Ce qui m’a fait changer est d’une part l’esthétique peaufinée de Fiery Feeds (il y a d’ailleurs beaucoup de paramètres qui permettent de l’adapter à ses goûts), et d’autre part ses possibilités de partage vers d’autres appli qui sont virtuellement infinies grâce aux « URL actions ». Et d’autres petites choses, comme la possibilité de renommer un flux directement depuis l’appli, sans devoir revenir sur l’agrégateur.
Fiery Feeds
Fiery Feeds

Avec ces trois applications, je peux donc m’abonner aux flux des sites qui me plaisent, agréger le contenus des flux auxquels je suis abonnés et lire les articles de façon agréable et rapide, sans me laisser submerger.

Pour terminer, que faire lorsqu’un article me plaît et que je souhaite en faire quelque chose ? Fiery Feeds permet de le partager vers d’autres applis que j’utilise. On peut partager directement vers Facebook ou Twitter, par exemple, mais aussi:

  • Instapaper est un peu ma bibliothèque. Dans les deux sens: C’est à la fois l’endroit calme où j’aime lire (Instapaper présente les articles de façon minimaliste et esthétique, me permet de prendre des notes, de surligner des passages, voire même de me lire l’article à haute voix si je veux l’écouter en voiture ou dans la rue) et l’endroit où je collectionne des articles auxquels je souhaite me référer plus tard (ils sont classés par thème et ne bougeront pas même si ils disparaissent du site d’origine). J’ai actuellement des centaines d’articles dans ma collection Instapaper, et il m’arrive souvent de demander un tri « au hasard » ce qui me permet de me repencher sur un sujet X ou Y qui m’avait interpelé à un moment donné.On peut aussi faire des « text shots », depuis Instapaper.Avant Instapaper, j’utilisais Pocket, mais je ne souhaite aucunement revenir en arrière.
  • Linky (n’est pas le compteur electrique qui veut ma mort) c’est une petite appli qui permet de partager vers Twitter ou Facebook. Pourquoi ne pas partager directement sur Twitter ? Hé bien Linky automatise des choses, comme récupérer le titre d’un article, insérer une photo, réduire les URL…

Louis Pouzin n’a pas inventé Internet, mais sans lui, il n’y aurait pas d’Internet

Croyez-le ou pas, mais si aujourd’hui nous parlons de « l’Internet » et du TCP/IP, et non de « Catenet » et du « datagramme », c’est grâce, ou à cause des PTT. C’est une longue histoire.[…]

Un article intéressant, une époque fascinante. Sur le même thème, d’ailleurs, je vous conseille « La théorie de l’information« .

Source : Louis Pouzin n’a pas inventé Internet, mais sans lui, il n’y aurait pas d’Internet

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radioamateur

Une manne financière inespérée !

Depuis Newington (USA) ce matin, l’IARU a diffusé un communiqué de presse étonnant: La vente d’un bloc d’adresses IPv4 dont disposent actuellement les radioamateurs. Cette vente permettrait de dégager « plusieurs dizaines de millions de dollars » (!), c’est donc quelque chose de tout-à-fait significatif pour notre hobby, qui mérite qu’on s’y attarde.

Le contexte:

Les adresses IP sont des adresses qui identifient de façon individuelle les machines connectées à l’internet. Vous disposez d’une adresse IP (attribuée par votre fournisseur d’accès), et les serveurs que vous consultez aussi (par exemple 173.194.78.94 pour Google France). Il faut attribuer des adresses à CHAQUE machine.

Or, l’Internet Protocol a été conçu à une époque où il semblait qu’une réserve de 232 soit plus de 4 milliards d’adresses serait largement suffisant pour couvrir tous les besoins. A cette époque reculée, dans les années 70, un radioamateur pionnier des réseaux (et du packet-radio), Hank Magnuski, a obtenu un bloc d’adresses à part entière, c’est à dire la plage composée de toutes les adresses commençant par 44, soit 16,7 millions d’adresses uniques, pour permettre le développement du packet selon la maxime « IP over everything » !

Aujourd’hui, l’allocation de ces adresses ne se fait plus entre copains autour d’une bière comme à l’époque beatnik, mais est confiée à l’IANA, qui dépend elle même de l’ICANN, puis à des groupes régionaux (RIPE en Europe) etc etc. Et surtout, de nos jours, les adresses IP sont une ressource rare. En février 2011, l’IANA a annoncé qu’elle n’avait plus de réserves. Pour cette raison, il existe une nouvelle version, appelée IPv6, qui permet d’allouer beaucoup plus d’adresses, mais c’est un autre sujet.

Cette rareté des adresse IPv4 donne lieu à de la spéculation: Certaines sociétés recherchent des adresses alors que les « autorités » ne peuvent leur en allouer. Elles sont donc contraintes d’en racheter à ceux qui les possèdent. A titre d’exemple, lors de la faillite de NORTEL, qui détenait 666624 adresses IP, plus de 80 entreprises étaient intéressées par ce rachat, et c’est finalement Microsoft qui a racheté 470016 adresses au prix de 11,25$ par IP !

Le deal:

Selon les déclaration de son Président, VE6SH, c’est dans ce contexte que l’IARU a été approchée de façon de plus en plus insistante, depuis plusieurs mois. Bien que n’étant pas « propriétaire » de cette plage d’adresse 44/8, l’IARU a déclarée être habilitée à négocier pour le compte des radioamateurs du monde entier, s’agissant d’une instance représentative auprès de l’ITU.

L’IARU a constaté que, bien que certaines de ces adresses soient allouées dans de nombreux pays, elles n’étaient quasiment plus utilisées, compte tenu d’une part de la déroute qu’a connu le packet-radio lors de l’avènement de l’internet grand public, d’une part, et au fait que les rares expériences d’IP par des radioamateurs se faisaient bien souvent dans d’autres classes d’adresses « privées » (adresses commençant par 10. ou 192.).

Dans ces conditions, l’IARU a négocié avec l’IANA la restitution du bloc 44/8, moyennant une contrepartie financière dont le montant n’a pas été révélé, mais de « plusieurs dizaines de millions de dollars », selon la déclaration officielle. Une telle valeur n’a rien de surprenant lorsqu’on fait le calcul: 16,7 millions d’adresses à 10$ chacune…

L’IARU a déclaré avoir refusé de céder ces adresses directement à des sociétés privées, bien qu’elle ait été approchée par de nombreuses « major » de l’internet. Elle a considéré qu’agissant comme mandataire d’un service non lucratif, elle avait privilégié une restitution à l’IANA, moyennant une « contrepartie équitable ».

Les réactions:

De façon surprenante, il n’y a pas eu beaucoup de réactions à cette opération. Gageons que cela viendra lorsque la nouvelle sera diffusée. Certains ont toutefois reproché à l’IARU, sur des forums internet, de « vendre les bijoux de famille », de « brader le patrimoine du radioamateurisme ».

L’IARU, qui avait pris les devants, a fait valoir plusieurs points pour sa défense:

Le bloc d’adresses 44/8 était véritablement sous-utilisé (NDLR: c’est vrai en ce qui me concerne, je suis 44.151.34.7, j’ai du faire joujou deux ou trois fois avec cette adresse dans les années 90, et depuis…)

La valeur de ces adresses ira décroissante avec le temps, au fur et à mesure que l’IPv6 sera répandue. Elle aurait donc agi sagement en cédant les adresses IPv4 au moment du « peak oil », si l’on peut dire.

Enfin, selon l’IARU, les radioamateurs sont des gens aimant l’expérimentation (NDLR: je laisse à l’IARU la responsabilité ses propos), ceux qui souhaitent utiliser des adresses IP pourront le faire en IPv6, l’IARU ayant par ailleurs reçu attribution d’une plage d’adresse suffisante en IPv6.

Et pourquoi faire ?

Que l’IARU ait fait une bonne affaire, financièrement parlant, on peut le constater. Mais pourquoi faire ? Selon VE6SH, les fonds seront placés dans le cadre d’une « fondation », dont le but sera d’allouer des ressources financières aux projets portés par les sociétés nationales et les autres associations amateur (l’AMSAT a notamment été cité). Selon l’IARU toujours, « ces moyens financiers vont permettre au radioamateurisme non seulement de mener à biens une multitude de projets techniques et scientifiques, mais aussi d’assurer sa promotion et sa protection, le tout avec des ressources suffisantes, plus que jamais nécessaires ».

Reste donc à voir, concrètement, ce que cela donnera. Pour sa part, F6BYJ a déclaré « c’est une magnifique nouvelle, le REF-UNION a d’ores et déjà reçu l’assurance de recevoir une subvention conséquente pour la rénovation du système de chauffage de la Maison des Radioamateurs, à Tours ». S’opposant frontalement à une telle utilisation des fonds, F1PSH a rétorqué, sur un site web anonyme « tout cet argent est gaspillé, alors qu’on pourrait monter des projets « ballons » dans beaucoup d’écoles françaises ».

A suivre, assurément.

Adieu Free, bonjour OVH !

J’étais un client fidèle de Free depuis des années, mais je viens de changer de boutique.

En cause, un double problème:

  • Le SAV
  • La gestion par Free des non-dégroupés

Le SAV est le problème principal, si je n’avais pas eu de panne il est fort probable que je n’aie pas changé. Au début du mois, un orage a sévi près de chez moi. Suite à un impact de foudre proche, ma Freebox a cessé de fonctionner (ainsi que mon PC mais c’est une autre histoire). Le lendemain, j’ai signalé l’incident à Free, qui a ouvert un « ticket ».

Mais Free n’a pas de SAV. Leurs procédures d’assistance consistent d’abord à faire intervenir France Telecom (qui n’a pas non plus de SAV, et sous-traite donc) pour vérifier la ligne. Le lendemain de ma déclaration d’incident, on me signale que FT va intervenir pour vérifier ma ligne. Je suis un peu surpris (c’est de toute évidence la Freebox qui a un pépin, pas la ligne) mais pourquoi pas. Le lendemain, Free me communique la réponse de France Télécom: La ligne n’a pas d’incident.

Ensuite ? Rien. Je rappelle au 3244 (ce qui a du me coûter assez d’argent pour que Free se rembourse la vérification de ligne FT) et je demande ce qui est censé se passer. On va vérifier ma ligne, me dit-on. Et ce n’est pas une bêtise: Hier, un sous-traitant de FT est passé a la maison pour vérifier la ligne qui, devinez-quoi, n’avait pas de souci !

Ensuite ? Hé bien le mail de Free m’informe que selon France Télécom, ma ligne n’a pas de problème (je commence à le savoir) et que « Dans le cas où votre connexion ne serait pas opérationnelle, une nouvelle intervention sera demandée par nos équipes techniques »… Ca peut durer longtemps à ce jeu-là, Monsieur Free !

Bref, Free c’est bien quand tout va bien. Quand un grain de sable vient se glisser dans la mécanique, vous êtes projeté dans un monde ubuesque peuplé de centres d’appels africains, de réponses formatées, de procédures ineptes, d’appels payants au support.. et en attendant, vous n’avez pas d’internet.

Illustration de l’ubuesque: Notre ligne téléphonique « maison » passe par la Freebox. Comme la Freebox est en rade, je me dis « je vais aller sur mon compte et paramétrer un renvoi des appels vers un mobile ». C’est tout à fait possible, je le fais généralement quand nous partons en vacances. Hé bien non, impossible, pour le faire, il faut être connecté.. via la Freebox !! Et un appel (payant) au support de Free ne sert à rien, le pauvre gars du support ne peut rien faire de plus que moi (à quoi sert-il, alors ?)

Cela a commencé à m’énerver, et ça a été la goutte qui a fait déborde un vase déjà bien rempli. Cela faisait un moment, en effet, qu’être malmené par Free commençait à me gonfler.

En cause, la gestion par Free de ses non-dégroupés.

J’aimerai bien, parfois, habiter dans une zone dense, un immeuble en ville avec des offres « fibre », des dégroupages de tous les opérateurs etc etc.. Mais non, j’habite à la campagne, l’ADSL n’y est arrivé que depuis 2006, mon NRA fait moins de 1000 lignes, personne ne l’a dégroupé, et même les plans départementaux ne servent à rien, ne proposant que des offres Wimax débiles.

Et quand vous êtes abonnés non-dégroupés chez Free, autant vous le dire: On ne vous aime pas ! On vous garde parce que ça participe à la part de marché, et que l’on ne perd pas espoir de vous dégrouper un jour pour que vous soyez enfin rentable, mais pour l’instant, Monsieur le non-dégroupé, vous ne nous rapportez rien et on va vous le faire sentir.

La Freebox ? On fait de la pub pour des box design, mais vous vous serez prié de garder votre boite noire toute vieille. Et même lorsque l’on décide de changer ces pauvres V4 vieillissante, cela ne concerne que les dégroupés.

La télé ? Passez votre chemin. Rien, nada, que dalle. Les 250 chaines c’est pas pour vous, et de toute façon avec votre box pourrie vous n’avez qu’une péritel, pas de « magnétoscope numérique » ni rien du tout.

Le prix ? Hé bien pour ceux qui ont les belles Freebox design avec la télé et plein de fonction, c’est 29,99€/mois mais pour vous, avec votre boîte pourrie et le minimum syndical, on vous a concocté un tarif spécial: 36€/mois. Je sais, ne nous remerciez pas, c’est cadeau.

Il faut bien avouer, pour la défense de Free, que la concurrence ne fait guère mieux, c’est pourquoi je restais jusque là. Mais là, avec ce SAV bidon en plus, j’ai décidé de changer.

Pour qui ? Hé bien pour OVH.

Si vous connaissez OVH, ce n’est sans doute pas principalement pour leurs offres ADSL, mais plutôt parce que c’est un gros hébergeur. C’est OVH, par exemple, qui héberge ce blog. Client d’OVH depuis plus de 5 ans pour l’hébergement, j’en suis satisfait. La gamme des offres est variée, les offres sont plutôt bon marché, la gestion est complète.

Dernièrement, OVH s’est diversifié en sortant de l’hébergement « pur » pour proposer d’autres services, comme la téléphonie sur IP. Et plus récemment, OVH a proposé une gamme d’offres ADSL assez sympathiques, et j’ai craqué pour la no!TV qui propose la même chose que ce que j’avais auparavant chez Free, mais pour 12€/mois d’économie et la promesse d’un réseau « neutre » non bridé (ceux qui regardent des vidéos Youtube chez Free non-dégroupé comprennent de quoi je parle).

J’ai souscrit à l’offre no!TV de OVH le 14/11 et j’ai immédiatement reçu les mails de confirmation. Deux jours plus tard, je recevais les identifiants permettant de me connecter avec un modem si j’en avais déjà un (ce qui est le cas). Je l’ai branché hier soir, et hop, aucun souci, tout fonctionne ! Il ne me reste plus qu’à récupérer le modem OVH qui est en cours d’acheminement, et qui me donnera accès à la téléphonie VoIP.

Voila, après des années en tant que client chez Free (j’étais client depuis l’époque RTC) je quitte la barque de celui qu’il est convenu d’appeler le « trublion des télécoms » (c’est d’ailleurs tellement convenu qu’on peut se demander si c’est encore justifié). J’ai déjà écrit à la banque pour révoquer mon autorisation de prélèvement, reste à leur renvoyer leur matos, et ciao !

Erreur stratégique ? Free est à la veille de lancer des forfaits mobiles annoncés comme révolutionnaires, et il y a fort à parier qu’il y aura des offres « couplées » ADSL / 3G. Aurais-je dû attendre avant de partir ?

Bof.

Je ne nie pas l’intérêt probable des futures offres de Free Mobile, et les bienfaits de l’arrivée de ce nouvel acteur sur les prix de la filière. Depuis le temps que nous, français, nous faisions tondre par le cartel bien organisé des 3 opérateurs mobiles, ça va nous faire de l’air.

Mais:

  • J’habite à la campagne, comme je vous l’ai dit, et je doute de la couverture de Free Mobile chez moi
  • Mon téléphone va me servir comme outil de travail et je préfère donc éviter de faire le beta-testeur
  • En attendant, les offres des autres opérateurs vont baisser pour s’aligner, et je pourrai en profiter
  • Les offres couplées excluront probablement les vilains petits canards que sont les non-dégroupés

Donc pour le moment, je suis chez OVH pour 12 mois (sans frais de résiliation cachés à la Free) et ça me va bien.