Une idée comme ça, c’est déjà sympathique. Mais quand, on y regarde de plus près et qu’on constate que le schéma est correct, là, plus aucune hésitation !
Une visite sur ce site s’impose et promet un bon amusement pour toute la famille !
Une idée comme ça, c’est déjà sympathique. Mais quand, on y regarde de plus près et qu’on constate que le schéma est correct, là, plus aucune hésitation !
Une visite sur ce site s’impose et promet un bon amusement pour toute la famille !
Les « QSO parties » sont des contests organisés à l’échelle d’un (ou parfois plusieurs) état américain. J’ai participé pour la première fois à l’Oklahoma QSO party en 2007 lorsque, pour mon Worked All States, il ne me manquait plus que cet état. Bon plan: Il était évident que j’arriverai à avoir au moins une station de cet état, puisqu’elles étaient en concours à ce moment là. Une fois pris au jeu, j’ai poursuivi en en contactant d’autres, puis en réussissant le « challenge » de l’OK QP cette année là, qui était d’épeler « OKLAHOMA » en contactant des stations spéciales à suffixe d’une lettre. En « cadeau » pour ce challenge réussi, j’ai reçu un mug aux couleurs de l’Oklahoma. Sympa !
Hier, en manque d’intérêt pour le contest SP RTTY, je me suis dis « et pourquoi pas la Florida QSO Party » ? Et hop, en avant. Un petit tour sur leur site web, j’imprime la liste des comtés, je note les fréquences préconisées et j’attends le début du contest.
Ce que j’aime le plus, dans ces QSO parties, c’est que les signaux sont petits. Déjà, à l’échelle d’un état, il n’y a pas des tonnes de « big guns », et puis généralement, les antennes directives sont plutôt orientées vers le reste des Etats-Unis que vers l’Europe. La majorité des stations de Floride est donc.. inaudible !
Pour les autres, il faut scruter la bande, écouter attentivement, réussir à prendre leur indicatif et leur comté, puis appeler et réussir à se faire entendre malgré les autres appelants, généralement américains. Pas facile donc, mais du coup beaucoup plus gratifiant que d’enchainer KC1XX, W3LPL, K3LR, K1TTT.. là, vous contactez parfois des stations « mobiles » (qui se déplacent en cours de contest pour passer d’un comté à l’autre) !
De plus, une fois lancé, difficile de ne pas vouloir continuer pour essayer de contacter TOUS les comptés de l’état. Il y a 67 comptés en Floride, hier j’ai réussi à en contacter 34, juste un peu plus de la moitié.
Du coup j’ai commencé à regarder du côté du diplôme CQ USA-CA.. et voila comment on se prend au jeu !
Ajout du 26/04: La FQP se déroule sur deux périodes de 10 heures, la seconde commençait dimanche à 12Z et terminait à 22Z. En rentrant chez moi vers 20h, j’y suis donc retourné en dilettante pour essayer d’améliorer le score. Au final, j’ai contacté 100 stations de Floride, dans plus de 50 comtés (en vert ci-dessus). Certaines stations mobiles ont été contactées depuis une dizaine de comtés différents ! Le WE prochain, c’est la 7-QSO-party, sans doute moins facile côté propagation, mais je tâcherai d’y faire un tour !
Je vais vous saouler encore une fois avec mes réflexions REFUnionnesques pour essayer de revenir sur le mythe du caractère obligatoire de la revue. Je vais vous exposer mon point de vue. Ce n’est QUE mon point de vue, mais faute d’avoir été démenti après l’avoir exposé en haut lieu et avoir interrogé et relancé les instances nationales à ce sujet, hé bien..
1 – Rien n’oblige une association à imprimer un bulletin.
2 – Si une association imprime un bulletin, une revue ou ce que vous voulez, rien ne l’oblige à l’imposer à tous ses membres.
Alors pourquoi nous dit-on que la revue est obligatoire ?
Pour des raisons fiscales. Je vais essayer de rester simple. La fiscalité des association a été profondément remaniée en 1998. Les associations à but non lucratif (comme le REFU) ont le droit d’exercer des activités économiques en étant exonérées des impôts commerciaux, mais si ces activités sont reconnues comme lucratives, l’exonération sera remise en cause (il faudra donc se soumettre à l’Impôt sur les Sociétés, la Taxe Professionnelle, la TVA).
L’édition d’une revue ne constitue pas une activité lucrative si, par exemple, la revues a pour objet d’informer les adhérents des activités de l’association.
La solution retenue par le REFU est donc de rendre la revue obligatoire pour tous les membres. Comme ça, le REFU s’assure du caractère « non lucratif » de l’édition de la revue et évite le risque de la voir qualifier d’activité lucrative.
Cela m’inspire deux remarques:
En effet, mettons que Radio-REF redevienne une revue optionnelle à laquelle les membres (pardon, les adhérents) du REFU ont le choix de s’abonner ou pas. L’activité serait-elle qualifiée de lucrative ?
Il y a quelques mois, probablement que oui. Mais aujourd’hui, probablement que non ! Pourquoi ? Hé bien parce que Megahertz Magazine a disparu. Et la situation au regard de la concurrence est un élément clef dans l’appréciation du caractère lucratif ou pas d’une activité. Si l’édition de la revue ne concurrence aucune entreprise du secteur lucratif (ce qui était le cas lorsque Megahertz existait), l’activité ne sera pas soumise aux impôts commerciaux.
J’ajoute que le fait de rendre la revue obligatoire aux adhérents lui interdit, de fait, d’être inscrit à la Commission Paritaire et donc de bénéficier des avantages de cette inscription, à savoir un tarif postal préférentiel, et une TVA à taux réduit.
En résumé:
Le choix fiscal qui a été fait à une époque et qui, faute d’être assumé, a été présenté comme une obligation n’est plus d’actualité puisqu’il n’existe plus de « produit » concurrent à Radio-REF. Le remettre en cause n’aurait que des avantages:
Il est donc urgent que le REFU fasse réaliser une consultation par un fiscaliste, sur ce point.
Sources:
Pour financer l’achat de votre prochain TX, vous décidez de demander un prêt au Crédit Agricole Atlantique Vendée. C’est une bonne idée. Quel conseiller clientèle appelleriez-vous ?
Le comité organisateur du CQ WW DX Contest a déclaré avoir reçu, pour l’édition 2008, 5013 logs SSB et 5272 logs CW !
Voila qui devrait donner à réfléchir aux prophètes de malheur !